Salon Epoqu'Auto 2016

 

Nous y voilà 10 ans de photos d’Epoqu’Auto  sur le site internet et 18 ans que je parcours les allées du salon Epoqu’auto.

Et quelle évolution depuis le temps, que marques mis en avant d’année en année que de rencontres…Et cette année on retrouve donc comme en 2006 la marque Delahaye, mais cette fois c’est pour fêter les 50 ans du club.


Delahaye ne fabriquait en revanche que les châssis
et les moteurs, les clients en prenaient possession et
la confiaient aux grands carrossiers de l’époque pour
disposer de leur propre modèle. Les plus grands noms de la
carrosserie française ont travaillé pour Delahaye. La plupart
d’entre eux adoraient intervenir sur une Delahaye, car le
châssis 135, emblématique de la marque, se prêtait idéalement
à leur travail en raison de ses proportions.

 La seconde guerre mondiale va pourtant venir briser
cet élan. Car au lendemain de la victoire des alliés, la
situation a totalement changé.

Delahaye continue de
produire le 135 et tentent même de sortir un modèle avec
un moteur un peu plus musclé et trois empattements,
les châssis 175-178-180, pour attaquer le marché des
États-Unis. Une tentative vaine. Car la concurrence des
voitures anglaises, mais aussi l’apparition de Ferrari dès
1947, bouleverse la donne en profondeur. « Ceux qui
voulaient acheter des voitures sportives se tournaient
vers Jaguar, vers Ferrari, des voitures plus modernes et
moins coûteuses. »


Delahaye tente une dernière manoeuvre au salon de 1951,
avec la sortie du châssis 235. Il ne sera finalement produit
qu’à 85 exemplaires, dont beaucoup seront carrossés
par Henri Chapron.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

La première Aston Martin a vu le jour en 1913 à Gaydon,
dans le Warwickshire.

À l’origine, les deux fondateurs de
la marque, Lionel Martin et Robert Bamford, ont pour
ambition de concurrencer Bugatti. Pour cela, ils s’appliquent
à produire une voiture taillée pour la compétition, capable
de rouler jusqu’à 115 km/h. Leur ambition est rapidement
assouvie, puisque Lionel Martin remporte dès 1914 la course
de côte d’Aston Clinton.


Pour échapper à la disparition, Aston
Martin doit changer de mains une fois de plus en 1947.
L’entreprise est alors rachetée par David Brown, un gros
industriel, qui lance la marque sur le créneau des voitures
de grand tourisme en s’appuyant sur le moteur Lagonda,
dont il est déjà propriétaire.

La DB 2, véritable légende
dans le portefeuille de voitures de la marque, est créée à
cette époque.Il installe l’usine à Newport Pagnell et Aston
Martin reprend le cours de ses victoires en course.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Cette année est un peu exceptionnelle
pour nous. Nous célébrons le 150e anniversaire
de la naissance de Marius Berliet et le ministre
de la Culture et de la Communication
a décidé d’intégrer cet événement
dans les Commémoration Nationales 2016.
souligne Monique Chapelle, véritable cheville ouvrière
de l’association qui entretient la mémoire de l’histoire
automobile lyonnaise.

 
 
 
 

Débarqué pour la première fois sur Epoqu’Auto il y a 8 ans,
Autodiva est aujourd’hui l’un des piliers du salon. Seul revue
entièrement dédiée à l’histoire de la course automobile,
le magazine trimestriel Autodiva est la référence absolue
sur le sujet dans l’Hexagone.


Cette année, Gérard Gamand, fondateur de la revue, a
décidé de centrer l’exposition du magazine Autodiva sur
les voitures qui animent depuis deux ans la SportProtosCup
dans le championnat de France Historique des circuits.
Cette compétition fait revenir sur les pistes les plus belles
barquettes qui animaient le sport automobile des années
60/70/80.

 
 
 

Avec l’édition 2016 d’Epoqu’Auto, les Youngtimers font
définitivement leur entrée dans le cercle des habitués.
Cette année marque en effet le 5e anniversaire de leur
présence sur le salon.

Pour l’occasion, les organisateurs
ont décidé de mettre l’accent sur les voitures produites à
la fin des années 70 et 80 par les deux leaders du marché
japonais : Honda et Toyota.

 
 
 
 
 

Pour finir sur cette grandiose année 2016 pour Epoqu’Auto avec un salon toujours plus grand toujours plus beau et d’une qualité à faire pâlir les autres grands salons, on fait un tour d’horizon sur les parties clubs ou une nouvelle fois on en prend plein les yeux et surprise en laissant trainer les oreilles je peux vous confirmer pour 2017 un plateau de choix «  les 70 ans de Ferrari » par contre je me permet de dire ne placer pas les autos aussi mal que le plateau Aston Martin de 2016, c’était une catastrophe….


Je vous donne donc rendez-vous en novembre 2017 et sur le site qui à partir de maintenant va se remplir de toutes mes archives et nouveaux évenements auquel je vais participer en 2017 en commençant
Par le rallye Monte Carlo Historique de passage non loin de chez moi et par la suite sur le sublime Salon Auto de Genève
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